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Jeudi 25 avril 2019

 « Le meunier d’Angibault » de Georges SAND – collection Classiques – Livre de Poche

Résumé de l’ouvrage :

Marcelle de Blanchemont, veuve d’un baron qui ne lui a laissé que des dettes, pense pouvoir épouser un ouvrier socialiste, nommé Henri Lémor, malgré les préjugés de classe de ce dernier. Mais Henri s’enfuit et se cache au moulin d’Angibault. Marcelle considère ce départ comme un manque d’amour. Dans le voisinage du château de Blanchemont vit un riche paysan, Bricolin, paysan cupide qui empêche ses filles de se marier selon leur coeur. L’ainée, Louise, est devenue folle de chagrin, en lui interdisant d’épouser un jeune homme, qu’il ne trouvait pas assez riche. La cadette, Rose, est amoureuse de Grand-Louis, un meunier pauvre d’Angibault et souffre en silence. S’étant prise d’affection pour le couple, la baronne de Blanchemont, vient à son aide. Marcelle fait un marché avec le Bricolin : elle lui cédera son château s’il consent au mariage de Rose et du meunier. Par bonheur, Grand-Louis rentre en possession d’une petite fortune qui permet de mettre tout le monde d’accord. Le meunier épouse Rose et Marcelle, Lémor. Ils travailleront tous ensemble, en harmonie.

Source Blog romantism.free.fr

L’auteur :

George Sand  est le Jpseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevant, romancière, auteur dramatique, critique littéraire française, journaliste, née à Paris le 1er juillet 1804 et décédée au château de Nohant-Vic le 8 juin 1876.

Ardente féministe, elle vise pour les femmes le droit au divorce et à la similitude civile que le code Napoléon leur dénie. Ses premiers romans, Indiana et Lélia, connaissent un grand succès, elle devient célèbre, mais incite l’exaspération de certains de ses contemporains par sa conduite : elle s’habille en homme, fume la pipe, monte à cheval comme un Cosaque… Elle s’enthousiasme pour la révolution de 1848 ; en Berry, sur ses terres de Nohant, elle tente d’établir  » La République au village « , sans grand succès. Elle lance encore un journal, La Cause du peuple, et participe à de nombreuses autres déclarations. Cependant elle réprouve la brutalité sous toutes ses figures et juge qu’aucune pensée, si juste et belle soit-elle, ne justifie le sang répandu. Sous le second Empire, elle continue d’écrire, diffusant surtout La Petite Fadette; le théâtre est à cette époque son moyen favori de tournure critique.

Source Blog http://biographie-courte.blogspot.com/

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Jeudi 23 mai 2019

« Les huit montagnes » de Paolo COGNETTI – collection Livre de Poche

Résumé de l’ouvrage :

«Quel que soit notre destin, il habite les montagnes au-dessus de nos têtes.»

Pietro est un garçon de la ville, Bruno un enfant des montagnes. Ils ont 11 ans et tout les sépare. Dès leur rencontre à Grana, au cœur du val d’Aoste, Bruno initie Pietro aux secrets de la montagne. Ensemble, ils parcourent alpages, forêts et glaciers, puisant dans cette nature sauvage les prémices de leur amitié.

Vingt ans plus tard, c’est dans ces mêmes montagnes et auprès de ce même ami que Pietro tentera de se réconcilier avec son passé — et son avenir.

Dans une langue pure et poétique, Paolo COGNETTI mêle l’intime à l’universel et signe un grand roman d’apprentissage et de filiation.

Traduit de l’italien par Anita ROCHEDY

Source BABELIO

L’auteur :

Paolo COGNETTI est un écrivain italien né le 27 janvier 1978 à Milan.

Il a suivi des études universitaires en mathématiques, qu’il abandonne. En 1999, il est diplômé de la Civica Scuola di Cinema « Luchino Visconti », école de cinéma de Milan. Il créé, avec Giorgio Carella, une société de production indépendante (CameraCar).

Il débute l’écriture en 2004 avec « La qualità dell’aria ». Dans les années suivantes, il publie deux recueils « Manuale per ragazze di successo » (2004) et « Una cosa piccola che sta per esplodere » (2007) ainsi que « Sofia s’habille toujours en noir » (Sofia si veste sempre di nero, 2012) et « Le garçon sauvage » (Il ragazzo selvatico, 2013).

« Les huit montagnes » (Le otto montagne, 2016), son premier roman, obtient le Prix Strega Jeunesse et le Prix Médicis étranger en 2017.

Il est auteur de documentaires, d’un guide littéraire de New York, d’ouvrages sur la littérature américaine, de livres sur la montagne.

Source BABELIO

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Jeudi 27 juin 2019

« IMAQA» de Flemming JENSEN – collection Babel

Résumé de l’ouvrage :

Un professeur danois obtient sa mutation au Groenland et se heurte au choc des cultures. Le roman dénonce, avec un humour irrésistible, les méfaits de la colonisation du Groenland par le Danemark.

Martin, un instituteur danois en milieu de carrière, demande sa mutation dans la province la plus septentrionale du Danemark, le Groenland. Et parmi les postes qu’on lui propose il choisit un hameau, Nunaqarfik, à 500 km au nord du cercle polaire. Il y débarque en même temps qu’un lycéen groenlandais, Jakúnguaq, qui, selon le système éducatif en cours, vient de passer une année au Danemark et rentre au pays.

Nous sommes dans les années 1970. Martin arrive au Groenland avec son baluchon d’idées préconçues, de mauvaise conscience coloniale et de bonnes intentions. Que très vite ses amis groenlandais mettront à mal : Gert l’imprévisible, qui commence par lui vendre des chiens qui ne lui appartiennent pas ; Pavia, le pochard invétéré, qui voit dans sa puissante BSA Lightning 650 cm3 (par ailleurs tout à fait incongrue sur les glaces arctiques) une planche de salut ; Jakúnguaq l’adolescent perturbé par son séjour en métropole ; la belle Naja, qui partagera ses nuits sous les peaux de bêtes.

Confronté au choc des cultures, à l’inadéquation du système éducatif danois dans un territoire si différent, Martin va s’éprendre de la réalité de ce pays et de ses habitants, dans leur splendeur et dans leurs drames. C’est là qu’il apprendra à admettre ce qui est incompréhensible, à aimer ce qui est, sans se préoccuper de ce qui aurait pu être (ímaqa en inuit signifie « peut-être »). C’est là qu’il trouvera tout ce dont il rêvait : l’aventure, l’immensité et l’amour.

Habité d’une passion sincère et contagieuse pour le Groenland, Flemming Jensen traite ici d’un sujet grave – celui d’un Groenland dont toutes les valeurs ont été bouleversées par la colonisation danoise et qui commence enfin, dans les années 1970, à se réapproprier son héritage culturel – avec un humour dévastateur qui n’est pas sans évoquer Jørn Riel.

Source : www.chapitre.com

L’auteur :

Flemming JENSEN est né le 18 octobre 1948 à Copenhague (Danemark).

Amoureux du Groenland et fervent défenseur des Groenlandais, il a mijoté pendant vingt-cinq ans « Imaqa », son grand roman inuit (Gaïa, 2000).

Connu pour ses one-man-shows et ses sketches radio ou télé, Il écrit d’abord ses « Lettres à Mogens » (Mogens c’est son chien), puis il use de ses talents d’humoriste dans « Le blues du braqueur de banque » (2012) et « Maurice et Mahmoud » (2013). En 2014, il adapte au Danemark les racontars de Jørn Riel pour le théâtre et publie en France « Le petit traité des privilèges de l’homme mûr et autres réflexions nocturnes ».

Source : Editions Gaia

 

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